Michael Wells
| Messages : 22 Localisation : Ici !
Carte d'indentité de Söliña Nom de code: Don Juan Situation amoureuse: Divorcé. Who Know You ?:
| Sujet: {fini} Michael Wells | Coureur de jupon professionnel. Dim 14 Mar - 0:37 | |
| "Dis moi, qui es-tu ?"
| MICHAEL WELLS. 41 ANS. Don Juan
Born on The 8th of July 2018 In Söliña Les Scientifiques. Divorcé. |
"Hey ! Tu ressembles à quoi ?"
Physique : L'arme fatale qui attire toutes les filles vers moi : mon physique ! Et bien oui quoi, il ne faut pas s'imaginer que toutes les débilités que racontent les filles sont vraies ! Elles disent toutes qu'elles préfèrent les hommes qui ont de la personnalité plutôt que les simples beaux gosses. Qu'elles sortent avec un thon pour voir ! Il suffit que je leur parle quelques minutes, deux ou trois passages de main dans mes cheveux bruns, quelques clins d'œils et regards insistants, et le tour est joué. Les femmes adorent les yeux gris ! Et puis, lorsque cela ne marche pas, je sors le grand jeu : un sourire. Même les plus résistantes fondent. Enfin, c'était vrai, jusqu'à Maria. Cette fille semble être faite avec un métal plus dur que l'acier, car elle ne semble même pas être atteinte parce que je lui dis. Comme si je n'existais pas pour elle. Comme si elle ne me connaissait pas. Caractère : Le nom de code Don Juan me vient de là je crois. De mon côté dragueur. Je ne peux pas m'en empêcher, dès que je vois une jolie femme. C'est comme si mon corps commandait à mon esprit, et non l'inverse. En faite, pour tout dire, les femmes me rendent fou. Mais bon, il ne faut pas croire n'importe quoi : ce n'est pas parce que je suis un dragueur qui a eu plus d'aventure que de sous-vêtements que je ne fais pas cela en finesse. J'aime bien les amener au restaurant, jouer les romantiques...en faite, je ne joue pas les romantiques. Je suis romantique. Mon plus grand pêché, je crois que c'est ma gourmandise. Je ne peux pas m'empêcher de manger beaucoup. Mais pas jusqu'à m'en rendre malade non ! J'aime seulement la bonne nourriture ! Lorsque j'étais espion, on m'a beaucoup félicité pour mes talents d'observateurs. C'est d'ailleurs pour cela que j'étais souvent choisit comme équipier dans les missions de repérage et de filature. Maintenant que je suis scientifique, être observateur me sers aussi. Je suis expert médico-légal, chargé d'analyser tout ce qui arrive de l'extérieur, pour vérifier s'il n'y a rien de dangereux. "Qu'est-ce que tu aimes faire ?"
Hobbies : Quelle question, bien sûr que j'ai des hobbies ! Premièrement, je dois dire que je suis fan des concours de bikinis...Enfin, bien qu'on n'en fasse pas à Söliña. Les seuls que j'ai vu étaient pendant mes missions. Et je dois dire que les filles de Miami sont sacrément bien fichues ! A la base, je n'ai pas vraiment le temps pour m'amuser. Je suis presque tout le temps dans mon labo, au 3ème sous-sol. J'examine tout ce qui vient de l'extérieur, de la bouteille de vin cru 1998 au petit post-it sur le carton de livraison. Lorsque je m'accorde un peu de répit, j'aime bien sortir sur la côte. L'air froid me gèle la peau, au travers de ma combinaison et de mon manteau, mais j'aime bien ça. C'est relaxant. Isolant. Enivrant. Avec mon iPod sur les oreilles, un opéra au volume maximum, je me sens bien. Cela m'aide à oublier un instant tous les tracas du quotidien. Favoris...Je crois que cette partie est ma préférée. Je n'ai jamais vraiment réussi à me montrer sous un jour différent que mon allure de playboy, alors je n'ai jamais vraiment discuté sérieusement de moi. C'est pour ça que j'aime les listes. Pas besoin de s'éterniser sur sa vie.
Plat favori : D'après ce que j'ai pu comprendre, je descends d'une famille Italienne. Et en bon Italien qui se respecte, je suis un grand fan de pâtes et de pizzas. Mon plat préféré ? Une bonne pizza quatre fromages !
Style de musique favori : J'aime la musique. C'est un moyen que j'ai trouvé pour m'évader de la base. Oublier mon travail. J'adore l'opéra, italien évidemment. Mais j'aime aussi beaucoup la musique classique. Cela m'aide à réfléchir, alors je m'en passe souvent dans mon labo, pour bien me concentrer.
Style de vêtements favori : Je crois que de ce côté-là aussi, mes origines italiennes ressortent. Je mets beaucoup de costumes, bien que maintenant ils soient presque tout le temps cachés sous une blouse blanche immonde. Quand j'aurais le temps, je me ferais faire un costume blanc. Peut-être que Melle Söliña acceptera que cela soit mon nouvel uniforme de travail.
Couleur préférée : Et bien, je dirais le jaune, le orange et le rouge. Les couleurs du soleil. Qu'est-ce qu'il me manque, le soleil chaud de Porto Rico, que j'avais eu la chance de connaître lors d'une de mes missions !
Série préférée : Ah, les séries. Mon activité du vendredi soir. J'aime bien me repasser d'anciennes séries, qui datent du début du 21è siècle, mais dernièrement, depuis que la direction a réussi à nous brancher au satellite TV, je me suis pris au jeu de suivre le remake de la série Mentalist. Honnêtement, je trouve Van Pelt encore plus craquante que dans la première version...
Livre préféré : Je n'aime pas vraiment lire. A vrai dire, je n'ai pas trop le temps de le faire. Le travail vous comprenez. Enfin bref, je me rappelle d'un roman que j'avais déniché à la bibliothèque de la base. Il était derrière un rangée de livre traitant de la science de l'ADN. Curieux, je l'ai pris, et je l'ai lu. En deux jours, je l'avais fini. Si on m'avait dit que dans les siècles précédents, il y avait eu autant d'auteurs de talents, tel que cet Oscar Wilde, je me serais tué pour aller y vivre. Son livre, le portrait de Dorian Gray, est tout simplement magnifique. L'exemple même du narcissisme pur.
Film préféré : C'est ma raison de vivre. Demandez-moi quelque chose sur un film, je peux tout vous dire ! Les gars au boulot disent que je vois des références à des films partout, et pourtant, c'est seulement parce qu'il y en a ! Mon film préféré ? Et bien, difficile à dire. Je dirais tous les James Bond. Ah, que de films de qualités datent du passé. "Quelle est ton histoire ?"
Biographie : Si j'ai bon souvenir, je suis né le 8 Juillet 2018, à Söliña évidemment. Mes parents n'étaient jamais là pour moi. Toujours occupé à droite à gauche du monde, cherchant une villa plus grande, un vin plus bon, une ville plus belle. Ils faisaient partie du plus haut groupe de personne à la base, et ce métier leur accordait quelques privilèges, entre autre le droit de passer un tiers de l'année dans une résidence secondaire dans une autre base située autre part dans le monde. Je n'eus pas le droit de les accompagner. Jamais.
C'était toujours le même refrain : "Non Michael, tu ne viens pas avec papa et maman cette fois-ci. Tu dois te concentrer sur tes études, afin d'avoir un bon travail, comme nous. Et comme ça, tu pourras venir vivre dehors aussi !".
Ils auraient pu m'emmener dehors avec eux. Ils auraient pu tirer quelques ficelles, parler cinq minutes à Melle Söliña, et ma valise prenait place à côté de celles de mes parents. Mais non. Ils ne m'ont jamais aimé de toute manière.
C'est pour cela que lorsqu'ils ont été arrêtés pour fraude et transmission d'informations en dehors de la base, je ne suis même pas venu voir leur procès. Depuis, ils doivent pourrir quelque part dans une des cellules de notre prison haute sécurité, quelque part au Pôle Nord. Ils n'ont jamais été mes parents. Ce sont les scientifiques et les espions de Söliña qui se sont acquittés de ce rôle à leur place.
Au fur et à mesure que je grandissais, je m'orientais de plus en plus vers une formation d'espion. Mon objectif de toujours. Je voulais voyager, voir le monde, découvrir des endroits que personne d'autre n'avait vu avant moi...J'avais soif d'évasion. Les pays chauds m'attiraient le plus.
Et c'est sans doute cette passion pour la chaleur solaire qui m'envoya en mission à Porto Rico, où je rencontrais Elana. Je crois que mon manque d'affection parentale, bien que je l'ai toujours dissimulé au fond de moi, m'avais beaucoup touché. Je désirais plus que tout aimer, et être aimer. C'est pour cela que dès mon plus jeune âge j'avais de nombreuses amoureuses, qui devinrent plus tard, des amantes.
Avec Elana, c'était différent. Aujourd'hui encore, j'ignore ce qui m'est passé par la tête. C'était il y a 10 ans, j'étais embarqué pour une mission sous couverture qui était partie pour durer plusieurs mois, voire années. Je ne sais pas, j'ai cru un instant que je pourrais avoir une chance de me faire une autre vie, avec une femme. Elana est arrivée à ce moment-là. Je travaillais dans un bar en bord de mer, une simple couverture bien entendu. Elana était une de nos plus ferventes clientes. Au début, je croyais qu'elle aimait juste mes cocktails, pour lesquels elle me laissait d'ailleurs de généreux pourboires. Mais petit à petit, j'ai compris qu'elle avait littéralement flashé sur moi. Nous avions ensuite commencé à nous fréquenter, et puis, un jour, sur un coup de tête, nous nous étions mariés. Je ne sais absolument pas pourquoi je lui ai proposé. Parmi les nombreux mystères de ma relation avec Elana, je dois dire que celui-ci est le plus secret.
Et puis, un jour, j'ai reçu mon ordre de rapatriement, après avoir réussi à glaner de précieux renseignements sur le maire de la ville. Je n'ai même pas réussi à lui dire au revoir en face, alors une nuit, je suis parti, en ne lui laissant qu'une lettre sur son oreiller, à laquelle était joint le formulaire de divorce, rempli. Je crois que je ne l'ai jamais plus aimé qu'une autre. J'avais juste cru, l'espace de 5 petites années -ma plus longue mission à ce jour-, que cela aurait pu être différent qu'avec les autres.
Personne à Söliña n'a jamais su. Et puis, un ans après mon retour de cette mission, quelqu'un avait su. On m'avait proposé une nouvelle mission à Porto Rico. Moi qui aimais cet endroit plus que tout, j'avais catégoriquement refusé d'y remettre les pieds, ce qui avait intrigué Melle Söliña, la patronne. Elle savait toujours quelque chose de plus que les autres. Et ce quelque chose de plus sur moi, c'était Elana. J'avais eu le droit à un petit sermon sur le danger que j'avais fait courir à ma couverture, et puis elle m'avait regardé dans les yeux, avant de me souhaiter, très sérieusement, bonne chance.
D'espion, je passais soudain au métier de scientifique. Pourquoi ce brusque changement ? Je crois que je ne suis pas encore tout à fait sûr de la réponse. J'avais toujours été fasciné par Pauley lorsqu'elle travaillait. Elle était experte médico-légale et analyste. Lorsque je décidais de devenir scientifique, j'orientais mes études vers ce métier. Lorsque j'obtins mon diplôme, après 1 an de formation au côté de Pauley -juste de quoi complêter la formation basique de scientifique que j'avais reçu plus jeune-, j'appris qu'on recherchait un expert médico-légal. Je postulais, et obtins le job. Qui dit changement de boulot dit changement d'appart. Enfin, appart, c'est vite dit. J'occupe maintenant un chambre, qui s'approche plus d'une suite d'hôtel bon marché que d'un studio. Numéro 301. Je n'ai pas choisi de naître avec les parents que j'ai eu. Je n'ai pas choisi de donner ma vie à Söliña. Je n'ai pas non plus choisi de faire du mal à Elana. Mais il y a au moins quelque chose que je veux choisir. Celle avec qui je veux faire ma vie, et la vie que je veux mener dès à présent. "Et sinon, en hors-jeux t'es qui ?"
Ton prénom : Juliette. Ton âge : 15 ans. Où es-tu ? Ici !! Impressions sur le forum : Il est beau ! (normal, c'est moi qui l'ai fait ^^) Comment as-tu connu le forum ? Et bien, il se trouve que ceci est un double compte. Mon premier compte étant celui de Melle Söliña, la fondatrice ! Donne-nous un exemple de tes RP :- Spoiler:
Coquins, les raillons du soleil avaient réussit à se glisser par entrebâillement des rideaux de la chambre de Jena. Il était près de 11 heures du matin, et la jeune fille dormait encore profondément. Mais la vive lumière de l'astre du jour vint lui titiller les paupières, la réveillant doucement. Elle mit sa main devant ses yeux pour se protéger de la forte lumière, et pour essayer de se rendormir. Elle était tellement bien... Tous les week end, Jena s'autorisait cette petite folie d'une très longue grasse matinée. Mais malheureusement pour elle, le soleil en avait décidé autrement aujourd'hui : elle ne se réveillerait pas à 12 ou 13 heures comme d'habitude, mais bien à 11 heures.
"Gnofjpodsjdmlfjdihv" Marmonna-t-elle en se levant, encore à moitié endormie.
Machinalement, elle se dirigea vers la salle de bain et se posta devant le miroir.
"Qu'est-ce que c'est que cette coupe de cheveux ???" S'écria-t-elle soudain, affolée.
Car en effet, elle avait dû passer la nuit à dormir dans la même position, et le côté gauche de sa coiffure était...comment dire ? Touffu ce matin-là ! En grognant, Jena enleva son pyjama et se glissa sous la douche. Bientôt, la salle de bain devint un sauna, tant elle avait mis d'eau chaude. Tout doucement elle sortit de son état d'endormissement, et ses idées se remirent en place. Aujourd'hui, nous étions samedi. Et aujourd'hui, elle avait décidé d'aller se balader sur l'île. Cela ne lui arrivait pas très souvent, puisque depuis quelques temps, elle n'avait plus un moment pour se laisser aller à l'appel de la nature. On toqua à la porte. C'était Mme Davison, la mère de Jena, qui lui demandait de bien vouloir sortir de la douche, puisque cela faisait bientôt trois quart d'heure qu'elle y était.
"D'accord Maman ! Je sors dans deux minutes !"
Elle ferma les robinets d'eau et sortit de la douche enveloppée d'une serviette. Lorsqu'elle ressortit de la salle de bain, elle était bien coiffée, et habillée. Ce jour-là, elle avait opté pour une tunique grise claire avec marqué "Free Hugs" dessus, un lon legging noir et des ballerines grises. Tant qu'il faisait beau, il fallait en profiter !
"Ma chérie, Commença Mme Davison. Quand tu sortiras tu pourras passer dans le centre pour acheter du pain et de la farine ? - D'accord, mais pourquoi de la farine ? - Oh ! Je vais profiter de cette journée pour améliorer mon niveau en cuisine !"
Elle avait l'air tellement sérieuse et fière d'elle que Jena n'osa pas la contredire et se contenta de lui sourire. Dans l'entrée de la maison, elle prit sa veste en imitation cuir et ses lunettes de soleil, puis sortit de la maison. La ballade pouvait commencer !
Dernière édition par Michael Wells le Dim 28 Mar - 14:39, édité 11 fois |
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